Un autre corps
A Lisbonne l’océan a des relents d’absinthe Et les navires à quai ont amené les voiles, Le vent chevauche dans le sang des fureurs presque saintes. On attend, on se perd, et on se perd vraiment A voir passer les heures au bureau de tabac Dans l’oubli décidé d’un vers de Pessoa Si longtemps gratifié…


