« Bergson, écrit Jankélévitch, ne nous dit pas quelle est la tâche de l’homme, mais il nous dit: soyez vous-même, mettez-vous tout entier dans vos actes, devenez ce que vous êtes, qui que vous soyez. C’est ce qu’on peut appeler l’immanence: demander à une volonté de se mettre tout entière dans sa décision, de s’approfondir, de se totaliser n’est pas lui dire ce qu’elle doit faire » *
Cynthia Fleury
La fin du courage. 2010
*Vladimir Jankélévitch, Henri Bergson, p 267










