nous infirmières, c’est notre tour
…comme les autres, j’enlève doucement le masque d’infirmière que j’ai porté six heures d’affilée. Je me rends compte que nous sommes à l’autre bout de cette nuit et qu’il fait jour. Je m’arrête dans ce couloir où il il n’y a personne et je m’adosse au mur. C’est le petit matin. La nuit n’a été…




