L’amertume
Tu es partie et depuis je sens l’amertume infinie d’avoir tu tant de choses pour toi, d’avoir tu en martyr cette douce tendresse que j’ai cachée comme les roses peuvent se cacher, et de ne pas t’avoir confié les mots exquis que ma bouche abritait, délicats et soumis, ces mots dont si souvent j’ai…