Sans vouloir être trop trivial et imiter ainsi un quelconque tabloïd anglais avec leur femme nue en page 2 de chaque édition, je pense que je vais continuer un peu sur cette lancée, et poursuivre langoureusement ces formes post-voluptueuses
… D’autant que j’ai l’alibi de le faire en hommage à ce grand photographe arlésien qui nous a quitté l’an dernier: Lucien Clergue.
« Le diable au corps » s’y prête si bien avec, dans sa ferveur candide et fraîche, mais beaucoup d’autres écrits aussi.
En rout cas, avec ou sans corps de texte,
« Nus de la vague » ou « dans la forêt »:
En rout cas, avec ou sans corps de texte,
« Nus de la vague » ou « dans la forêt »:
ce sont de si beaux clichés