Chemin de montagne

tang1

A l’extrémité des nuages blancs
A l’infini s’étire un sentier
Le printemps longe un long ruisseau bleu
De temps à autre des pétales tombent à l’eau
Leur parfum se répand au lointain
Une porte s’ouvre sur le chemin de montagne
Un pavillon de lecture s’isole derrière des rangs de saules
Des points lumineux se faufilent à travers l’ombre épaisse
Et dansent silencieusement sur mes vêtements.

 

Liu Shenxu (VIII°)
La dynastie des Tang
Les plus beaux POEMES LYRIQUES

Traduits par SHI Bo
Ed Quimétao. 2000

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