Lève-toi, ô jour
Que les atomes entrent dans la danse !
Afin que de joie
Sans pieds ni tête, les âmes entrent dans la danse
Celui pour l’amour de qui
Danse le firmament
Je te dirai à l’oreille
Où est le lieu de sa danse
.
Mohammad Jalâl al-dîn Rûmî, poète perse (1207-1273)
Q.LAR, n°702