Danser
Et nous mourions là, depuis des siècles toujours renouvelés, A quelques mètres de l’endroit où nous étions nés, Dans cette odeur étouffante de sueur humaine. Nos corps alors flottaient sur le Gange puis disparaissaient dans les nœuds du fleuve. Je suis née sans pitié Et mon corps, à son tour, aurait dû couler doucement dans…